Le Pervers sexuel de 40 ans évoque le totem du «sinankunya» en vue de couvrir son crime… Les «Djo» le lâchent !
Le «Sinankunya» n’est pas un machin que l’on évoque à loisir pour cacher ses forfaits ou tromper son prochain ; non plus un jeu d’enfant destiné à couvrir l’ignominie. Le «Djô» est sacré. Et il fonctionne sur la base du respect des principes et les lois de la société. L’on ne peut l’évoquer qu . . .
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