En prélude à la dévaluation du Franc CFA en 1994, les sorciers du bureau F 2 du Trésor avaient supprimé la convertibilité de la monnaie commune, le franc CFA, entre l’UDEAC et l’UMOA. On est bien loin de l’effet recherché d’une intégration économique à travers une zone monétaire unique. Les deux sous-ensembles africains de la zone franc n’ont donc pas d’échanges commerciaux favorisés par la monnaie soi-disant commune. Ne serait-ce que pour cette distorsion, la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) n'a plus de . . .
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