La Cédéao -présidée par le septuagénaire Bola Tinubu et sous l’influence de l’octogénaire Alassane Dramane Ouattara qui veut en découdre avec Niamey- franchira-t-elle le Rubicon ? Nous le saurons dans 48 heures.
Ce qui est sûr , si cette intervention – qui serait la dernière option sur la table- a lieu, « pour rétablir le président élu par les Nigériens » elle consacrerait, à coup sûr, la fin de la présence française dans le Sahel. Et cela, pour plusieurs décennies . . .
- Accès réservé aux abonnés
- Un compte à jour est requis pour accéder à ce contenu