Amadou Kéïta, un enseignant meurt de chagrin
Son histoire ressemble à celles de plusieurs autres citoyens de la première génération de Maliens qui ont gagné honnêtement leur pain à la sueur de leur front et qui, à l’orée de leur retraite, sont confrontés à des spéculateurs fonciers véreux qui leur arrachent leurs biens immobiliers acquis après tant d’années de labeur avec la complicité des gens sans foi ni loi tapis dans l’ombre et qui meurent, le plus souvent de chagrin face à l’injustice . . .
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