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Pour ceux qui sont ravis de mettre en épingle les éclats de l’État du Niger, le renvoi du chef de délégation de l’Union européenne est une occasion de plus. Par contre on oublie bien volontiers tout le dispositif de sanctions et de restriction contre le pays que Josep Borrel et ses alliés français ont déployé après la déchéance de Mohammed Bazoum. Le Niger a été le laboratoire des politiques de sujétion de la France et de l’Union européenne depuis plus de 10 ans . . .
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