La Libye depuis deux mois traverse de nouveau une crise. Les symptômes les plus notables de la division entre les camps politico-militaires sont d’une part l’arrêt des exportations pétrolières et d’autre part la paralysie de la banque centrale. Les cœurs du système économique et financier battent au ralenti et l’asphyxie du pays menace avec déjà la dévaluation et l’inflation du dinar libyen. Le recours aux armes, comme il est de coutume depuis 2011, s’annonce comme un élément de la sortie de l . . .
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