Elle a osé ! Nonobstant l’existence de preuves matérielles irréfutables, de décisions administratives en bonne et due forme du gouvernement à travers le département du travail et de la fonction et visiblement sans argument convaincant, la Cour suprême a en effet osé valider le faux ouvrant ainsi la voie à une dangereuse jurisprudence pour le pays tout entier. N’importe quel faussaire pourrait ainsi se prévaloir de ce jugement pour… Et si c’était le but recherché en prélude aux affaires similaires en instance ?
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