La révélation par une lettre confidentielle « Africa Intelligence » (AI) de la présence du nom de l’ancien président nigérien Mahamadou Issoufou parmi les bénéficiaires des rétrocommissions dans la vente/achat opaque de 2500 tonnes d’uranium en 2011 par le groupe français Orano (ex Areva), connue sous le nom de l’uranium gate, a provoqué une onde de choc au Niger et bien au-delà. Tout semble toutefois indiquer que nous ne sommes qu’au début des éléments rassemblés par les justices américaine et français. Un . . .
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